
en cette fin d’année 2025 :
Une majorité mondiale de pays adhère à l’interdiction : Nous avons franchi le cap cette année, et désormais 99 pays ont signé, ratifié ou adhéré au Traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN). Il s’agit là d’une majorité mondiale claire qui affirme sans ambiguïté : nous ne tolérerons aucune menace nucléaire.
Nous changeons le discours : Nous avons recensé plus de 17 000 références médiatiques au Traité sur l’interdiction des armes nucléaires cette année, soit 20 % de plus qu’il y a deux ans. Le message a été répété à maintes reprises : la dissuasion nucléaire n’est pas une garantie de sécurité, c’est une menace pour le monde entier.
De nouveaux champions se sont joints à l’effort : Rien qu’en 2025, 57 nouveaux parlementaires d’Australie, d’Autriche, de Belgique, du Canada, de France, d’Allemagne, de Grèce, d’Italie et du Royaume-Uni ont rejoint des milliers de législateurs de 27 pays qui s’efforcent de convaincre leurs gouvernements d’adhérer au Traité d’interdiction des armes nucléaires. C’est ainsi que nous faisons passer le soutien public de la rue à la loi.
Les villes prennent le relais là où les gouvernements ne le font pas (encore) : Les partenaires de l’ICAN ont rallié 86 autres villes de 12 pays à l’appel des villes de l’ICAN en 2025, notamment Perth, Marseille et Athènes. Dans 10 pays, des villes représentant plus de 20 % de la population nationale ont appelé leurs gouvernements à adhérer au Traité d’interdiction des armes nucléaires. Les maires et les conseils municipaux savent que c’est un moyen de protéger les personnes qui y vivent.
Un mouvement plus fort et plus large : Nous avons désormais des partenaires dans 113 pays, avec de nouvelles organisations qui rejoignent la campagne en provenance d’Azerbaïdjan, du Brésil, d’Allemagne, du Pakistan, du Portugal, de Corée du Sud, de Suisse, d’Ouganda, du Royaume-Uni et des États-Unis. Notre mouvement continue de croître, de se diversifier et d’exiger l’abolition nucléaire dès maintenant.
Rien de tout cela n’est arrivé par hasard, cela s’est produit parce que des personnes comme vous ont choisi de croire qu’un monde sans armes nucléaires est possible et que vous êtes prêts à nous aider.
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